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Jour 4 du pèlerinage : Belley

Non catégorisé

Après environ deux heures de bus, nous sommes arrivés à Belley, berceau de la Société de Marie.

Le premier arrêt était à La Capucinière, aujourd’hui une maison renfermant des archives; ce fut la première des maisons dont les Maristes furent propriétaires. On pouvait distinguer au travers des étagères de livres entreposés les deux marches du chœur de l’ancienne chapelle ou le père Colin a été élu Supérieur General le 24 septembre 1836. Une photo de groupe a été prise devant la porte d’entrée. C’était pour un journal local. Et prendre une photo de groupe c’est toujours long.

Deuxième arrêt : le petit séminaire de Belley, aujourd’hui le collège Lamartine. C’était aux alentours de midi. Les élèves et étudiants étaient en récréation pendant que sœur Teri O’Brien sm, donnait des explications sur le lieu près de la statue de saint Pierre Chanel, ancien étudiant de cet établissement. En 1829, Mrg Devie nomma Jean-Claude Colin supérieur du collège. Il découvrit un autre aspect de la mission de la Société : l’éducation des jeunes. La statue de Marie qui surplombe la cour date de cette période (1833).

Troisième et dernier arrêt : la Maison de Bon-Repos des Sœurs Maristes. Nous étions comme dans un labyrinthe nous rendant dans un salon pour prendre notre pique-nique. Ce salon était l’endroit où le père Colin allait rendre visite aux religieuses pour leurs demander des prières. L’endroit était un peu exigu, les sœurs nous ont offert du vin du Bugey. Nous avons été trés bien accueillis. Après le repas, nous avons visité brièvement les lieux : le puits du père Colin, la cour intérieure, la cour extérieure, leur cimetière, suivi d’un passage rapide dans le musée dédié à leur fondatrice, Jeanne-Marie Chavoin.

Dernière activité : la présentation par sœur Teri du Bugey au temps de Colin, et le Bugey aujourd’hui. Une belle présentation PowerPoint nous montrant la similitude du Bugey d’hier et d’aujourd’hui. Une image (récente) particulièrement parlante, c’était la photographie d’une croix sur un tabernacle, la croix emprisonnée dans une toile d’araignée. À l’eucharistie, qui a suivi cette présentation, nous avons prié pour ceux qui s’évertuent à garder ces lieux vivants.

Avant de partir, les sœurs nous ont offert un autre petit verre de vin du Bugey avec une brioche. Nous sommes toujours bien reçus chez les sœurs maristes.

Frère Mario Béland, mariste (Canada)

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